Anamnèse
Elle vise à connaitre votre motif de consultation, votre cadre de vie et vos antécédents et permet de connaître les incidents qui ont jalonné votre vie.
L’ostéopathie est une pratique reconnue depuis le 4 mars 2002 (Journal Officiel du 5 mars 2002, loi n°2002-2003). Les décrets d’application, parus le 25 mars 2007, définissent la profession, les actes autorisés et la formation nécessaire à l’obtention du diplôme en ostéopathie.
L'ostéopathie est une thérapie déconventionnée, néanmoins de nombreuses mutuelles prennent en charge tout ou partie des honoraires.
70€
Une note d'honoraires est systématiquement délivrée.
Moyens de paiement : Chèque - Espèces - Virement
Elle vise à connaitre votre motif de consultation, votre cadre de vie et vos antécédents et permet de connaître les incidents qui ont jalonné votre vie.
Cette étape en lien avec l’anamnèse permet d’investiguer et de tester les zones qui apparaissent comme incriminées (dysfonctionnelles, hypomobiles).
Il sera mis en œuvre sur les zones dysfonctionnelles trouvées au cours des tests. Le thérapeute possède une caisse à outils (structurel, viscéral, crânio-sacré) qu’il mettra en œuvre en fonction des besoins du patient.
Ils vous sont prodigués en fin de séance si cela est nécessaire (activité physique, hygiène alimentaire, hydratation, sommeil…).
Pour l’ostéopathe, le symptôme décrit par le patient n’est que le résultat d’une suite d’évènements (traumatismes physiques et psychiques, chirurgie, maladies…) qui ont conduit à l’apparition de celui-ci.
Le praticien, grâce à son anamnèse et son bilan, va remonter jusqu'à l’origine du problème. Il utilise pour cela l’ensemble de ses sens et surtout un outil formidable qu’est la main. Formidable car d’une grande finesse afin de permettre aux tissus d’exprimer le désordre qui les anime.
Le père fondateur de l’ostéopathie A . T. Still disait que « seuls les tissus savent ». La main entraînée de l’ostéopathe leur laisse cette possibilité d’expression.
Les motifs de consultation sont variés : du bilan aux douleurs rachidiennes en passant par les reflux du nourrisson, les migraines, la constipation, les séquelles d’entorse de la cheville, les douleurs d’origine gynécologique (règles douloureuses, douleurs au rapports…).
L’ostéopathie s’envisage en complémentarité de la médecine après avoir éliminé une possible origine organique.
Prenons un exemple : vous venez consulter pour une douleur du bas du dos (lombaires) qui vous semble d’origine mécanique. Il s’agit d’une douleur sourde, profonde, apparue à la suite d’une infection urinaire. Il se peut que la petite bactérie présente dans votre vessie ait migré vers votre rein et que la douleur lombaire que vous décrivez ne soit que l’évocation d’une douleur rénale.
Il existe un lien anatomique entre crâne et sacrum que l’on appelle la dure-mère.
La dure-mère est une membrane inextensible qui permet la transmission de mouvements depuis le crâne vers le sacrum et inversement.
Ce mouvement permet la circulation du liquide céphalo-rachidien (LCR).
Ce mouvement et cette fluctuation liquidienne sont le reflet de notre état de santé.
Il nous apparaît donc primordial de restaurer un mouvement crânio-sacré de qualité.
Pour cela nous disposons de nombreux outils techniques :
Vous les connaissez souvent très bien et elles se traduisent en consultation par « je suis coincé, pourriez-vous me faire craquer ?» ou bien « je déteste que l’on me fasse craquer ».
La première contre-indication à une technique de manipulation est le refus du patient.
Ces techniques sont pratiquées lorsque aucune contre-indication n’a été établie au cours de l’anamnèse et du bilan.
Ces techniques doivent être indolores, appliquées avec douceur dans de petites amplitudes et avec une grande vitesse (technique HVBA).
Leur but est de restituer de la mobilité à un organe afin que celui-ci retrouve une fonction correcte.
Elles ont pour objectif de remettre en circulation les grandes autoroutes de notre organisme.